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Un couple dans la quarantaine a déposé 100 000 $ chez un courtier en fonds communs de placement, a obtenu un prêt « 2 pour 1 » et a investi une somme totale de 250 000 $ dans des fonds communs de placement.
Un client, qui avait investi environ 1 000 000 $ dans des CPG et avait également fait plusieurs investissements immobiliers, a rencontré un conseiller. Sur sa demande d'ouverture de compte, il avait indiqué qu'il avait un horizon de placement d'au moins 15 ans et un objectif de croissance équilibrée. Il était bien informé et travaillait dans le secteur de l'investissement immobilier.
Quelques jours après cette rencontre, la cliente a quitté pour la Floride. À son retour cinq mois plus tard, elle a découvert que la valeur de ses placements avait diminué. Elle a téléphoné à son conseiller en placement pour lui exprimer ses préoccupations. Le conseiller lui a rappelé que les placements pouvaient fluctuer à court terme et il lui a recommandé de ne rien vendre.
En février 2005, une veuve âgée de 80 ans a décidé de vendre sa maison à sa bru pour la somme de 100 000 $, même si elle prévoyait continuer à l'habiter. Puisque sa bru ne se qualifiait pas pour assumer seule le prêt hypothécaire de 95 000 $, elle a demandé à la cliente d'être cosignataire de l'hypothèque et de se porter garante d'un autre prêt personnel, ce qu'a fait la cliente. Quelques mois plus tard, la bru a informé la cliente âgée qu'elle ne voulait plus habiter avec cette dernière et lui a demandé de quitter la maison.
Une cliente s'est rendue à une succursale locale de sa banque afin d'obtenir un prêt personnel de 120 000 $ pour l'achat d'un bateau coûtant 140 000 $. La banque a accordé le prêt, moyennant des mensualités de 615 $ (principal et intérêt) pendant 15 ans et le versement d'un paiement initial de 15 000 $. Neuf mois plus tard, la cliente a reçu un relevé de la banque indiquant qu'elle devait faire des versements mensuels supérieurs au montant convenu initialement.
Un an après avoir signé une hypothèque pour un terme de cinq ans, la cliente a décidé de vendre sa maison. Une fois la vente conclue, elle a découvert que le remboursement anticipé de l'hypothèque donnait lieu à une importante pénalité. La cliente croyait que cette pénalité serait une somme représentant trois mois d'intérêt et elle était prête à payer ce montant. Mais elle a été surprise d'apprendre que la pénalité réelle serait établie en fonction d'un différentiel de taux d'intérêt, et que la somme à rembourser serait ainsi beaucoup plus élevée que prévue.
En raison d'un divorce imminent, un client s'est rendu à une succursale locale de sa banque pour faire diminuer la limite de crédit disponible sur sa ligne de crédit conjointe existante. La banque a informé le client que les documents nécessaires seraient traités dans les cinq jours ouvrables suivants mais que les changements avaient déjà été apportés.
Une cliente de 82 ans reçoit une lettre de son amie lui annonçant qu'elle a retiré 1 940 $ du compte de banque de la cliente avant de quitter le pays. La cliente a immédiatement prévenu la police et la banque.
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