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En 2008, M. H. a confié son portefeuille de placement à un nouveau conseiller. À l’époque, il avait 71 ans et travaillait encore à temps plein comme médecin.
En 2017, l'ordinateur de M. R. a gelé. Un avertissement s’est affiché à l'écran, suivi d’un message provenant de ce qui semblait être une entreprise digne de confiance. Le message indiquait à M. R. qu'un virus avait infecté son ordinateur et lui fournissait un numéro à composer. M. R. a téléphoné et parlé à un représentant qui lui a recommandé un logiciel antivirus pour corriger les problèmes. M. R. a accepté d’acheter le logiciel d’une valeur de 400 $.
Une femme âgée, Mme W., a un petit-fils qui habite en Asie. En septembre, Mme W. reçoit un appel téléphonique de son petit-fils, qui enseigne l'anglais en Corée du Sud.Il lui fait part de son intention de déménager en Chine pour continuer à enseigner, et lui demande de l'aider financièrement pour couvrir les frais du déménagement.
Mme T. est une éditrice de livres à la retraite qui vit seule. Elle touche une petite pension de son ancien employeur en plus de ses prestations de retraite du gouvernement. Ses seuls actifs financiers sont des obligations du gouvernement du Canada d’une valeur d’environ 30 000 $.
M. T. avait converti son compte de chèques personnel en compte conjoint assorti de droits de survie avec une amie. À ce moment-là, le solde du compte était de 15 000 $.
En 2014, M. M. était gravement malade. À l’époque, la plupart de ses actifs étaient détenus dans un important compte FERR, et ses trois fils avaient été désignés comme bénéficiaires. Son testament prévoyait que chacun de ses trois fils adultes recevrait une part égale de sa succession, mais cela ne correspondait plus à sa volonté, parce qu’il estimait que deux d’entre eux n’étaient pas capables de gérer de façon responsable un héritage important.
M. D. était une personne âgée en phase terminale. Il avait nommé sa fille, Mme M., comme mandataire spéciale dans une procuration. Au début de 2018, elle a communiqué avec la firme de courtage en valeurs mobilières de son père pour l’informer que ce dernier lui avait demandé de vendre ses fonds communs de placement.
M. F. est titulaire d’une carte de crédit, et de plusieurs autres produits, auprès de la banque depuis plus de 25 ans. Au début de 2018, il constate qu’il n’a pas reçu son relevé de carte de crédit par la poste. Il appelle la banque pour s’informer sur le relevé manquant.
En 2012, M. P a ouvert un compte géré auprès de sa firme de courtage en valeurs mobilières. Il a accepté de payer des frais mensuels. Son conseiller, M. A, a réalisé diverses stratégies d’options sur son compte en son nom. La négociation d’options est une stratégie d’investissement sophistiquée et à haut risque.
Au début de 2016, M. et Mme J ont constaté que leur banque n’avait pas programmé leurs paiements hypothécaires de façon régulière à partir de leur compte. Le couple avait assidument payé son hypothèque au cours des cinq dernières années. Lorsqu’il a constaté l'écart, il a immédiatement communiqué avec la banque afin de résoudre le problème.
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