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Quelques années après avoir immigré au Canada, un couple d'âge moyen a ouvert un compte chez un courtier de plein exercice et y a déposé les 80 000 $ provenant de la vente de leur maison au Royaume-Uni et de l'indemnité de cessation d'emploi du mari.
Près des trois quarts du compte détenu par une cliente de 91 ans chez un courtier de plein exercice étaient investis dans un fonds d'obligations. Le conseiller en placement a convaincu le fils, qui détenait une procuration pour agir au nom de la cliente, de transférer les placements initialement faits dans un fonds obligataire sans frais d'acquisition à une version du même fonds comportant des frais d'acquisition reportés (FAR).
Un couple a pris la décision de vendre sa maison afin d'en acheter une nouvelle, mieux adaptée à ses besoins. Le mari et la femme ont communiqué avec leur banque afin de s'enquérir des options de financement de leur future maison et des effets qu'aurait un remboursement anticipé de leur prêt hypothécaire existant. La banque les a alors informés qu'ils auraient à payer une pénalité de remboursement anticipé de 4 000 $.
Un commerçant de longue date spécialisé dans la vente de produits par télémarketing a décidé de commencer à accepter les paiements par cartes de crédit. Au cours d'une brève conversation téléphonique, sa banque lui a établi un compte de commerçant et lui a télécopié les documents à signer.
Un client et son ami se sont rendus dans un club de nuit après avoir bu plusieurs consommations à la maison. Le client était ivre au moment de leur arrivée au club de nuit, mais il a commandé et payé une tournée. Il a ensuite laissé son portefeuille, contenant sa carte de débit bancaire, sur la table, pendant qu'il se rendait aux toilettes. À son retour à la table, le client ne s'est pas aperçu de la disparition de son portefeuille. Peu de temps après, le client et son ami se sont quittés.
Une cliente ayant reçu des recommandations de placement inappropriées s’est vu offrir par sa société de placement un dédommagement de 30 000 $. La cliente a rejeté cette offre et a interjeté appel auprès de l’OSBI. Toutefois, après avoir examiné le dossier en profondeur, l’Ombudsman a conclu que le dédommagement devait se limiter à 20 000 $.
Client d'un courtier de plein exercice, l'investisseur a effectué plus de 200 transactions durant une période de huit mois. Il a ensuite transféré son compte, prétendant avoir subi des pertes parce que le conseiller a multiplié les transactions dans son compte afin de maximiser le paiement de commissions. De plus, il a allégué que les actions achetées et vendues étaient trop concentrées dans le secteur très volatil de la technologie de pointe.
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