La cliente a été recrutée par une entreprise, via l'Internet, pour effectuer en son nom le recouvrement de comptes clients. La cliente devait déposer dans son compte des chèques de sociétés canadiennes et envoyer ensuite, par virement, 90 % du montant des chèques à des tiers à l'étranger et garder 10 % à titre de commission.
À son réveil un matin, le client s'est aperçu que son portefeuille avait disparu. Après de vaines recherches, il a appelé la banque pour signaler la perte de ses cartes. Pendant ce temps, le fraudeur avait effectué des retraits au guichet automatique et des achats avec sa carte de débit totalisant 3 437 $. À chaque opération litigieuse, le fraudeur avait entré le numéro d'identification personnel (NIP) du client correctement.
Le client a découvert avec consternation qu'un chèque de 4 900 $ avait été tiré sur son compte le mois précédent et qu'il n'en était pas l'auteur. Il en a immédiatement informé la banque, qui a produit l'original du chèque. Il était évident que la signature était contrefaite, et le client a demandé un remboursement.
La cliente vit et travaille à l'étranger, mais continue d'utiliser un compte bancaire canadien et sa carte au guichet automatique. Depuis l'étranger, elle s'est plainte à sa banque du retrait non autorisé d'une somme d'environ 1 100 $ à un guichet des environs.
Un client a annoncé dans Internet un système de son à vendre, pour lequel un acheteur d'Amsterdam lui a offert la somme de 1 600 $.
L'acheteur a suggéré que son client américain, qui lui devait de l'argent, verse 7 800 $ en paiement de l'équipement au client et que ce dernier télégraphie ensuite la différence de 6 200 $ à l'acheteur. Un associé canadien de l'acheteur devait se charger de ramasser l'équipement. Le client a accepté cette proposition et a exigé un chèque visé.
Un couple a pris la décision de vendre sa maison afin d'en acheter une nouvelle, mieux adaptée à ses besoins. Le mari et la femme ont communiqué avec leur banque afin de s'enquérir des options de financement de leur future maison et des effets qu'aurait un remboursement anticipé de leur prêt hypothécaire existant. La banque les a alors informés qu'ils auraient à payer une pénalité de remboursement anticipé de 4 000 $.
Un commerçant de longue date spécialisé dans la vente de produits par télémarketing a décidé de commencer à accepter les paiements par cartes de crédit. Au cours d'une brève conversation téléphonique, sa banque lui a établi un compte de commerçant et lui a télécopié les documents à signer.
Un client et son ami se sont rendus dans un club de nuit après avoir bu plusieurs consommations à la maison. Le client était ivre au moment de leur arrivée au club de nuit, mais il a commandé et payé une tournée. Il a ensuite laissé son portefeuille, contenant sa carte de débit bancaire, sur la table, pendant qu'il se rendait aux toilettes. À son retour à la table, le client ne s'est pas aperçu de la disparition de son portefeuille. Peu de temps après, le client et son ami se sont quittés.
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